Stéphane LAMBERT

 

 

Romancier, poète et essayiste, Stéphane Lambert est né à Bruxelles en 1974.

La question de l’intime est au cœur d’un cycle autobiographique (Mes morts ; Mon corps mis à nu).

Interpellé par le processus de création, il a consacré différents livres à des artistes (Claude Monet, Mark Rothko, Nicolas de Staël, Goya).

Parallèlement à ses livres, il a écrit des fictions radiophoniques sur des peintres (Staël, Monet, Spilliaert) pour France Culture, et co-écrit avec le metteur en scène Claude Régy Dans le désordre (Actes Sud, 2011 - prix du Meilleur livre sur le théâtre).

 

Choix bibliographique

Romans - récits

  • Une histoire d’amour (roman), édition Luc Pire, 2002
  • Comme de se dire d’un amour qu’il sera le dernier (nouvelles), édition Labor, 2005. Prix Franz De Wever, 2005. Prix Lucien Malpertuis 1999 pour la nouvelle "Simone et Jean".
  • Filiations (récits), édition Labor, 2006
  • Mes morts (récit), éditions Le Grand Miroir, 2007
  • L'Homme de marbre (roman), éditions Luc Pire, 2008
  • Les Couleurs de la nuit (roman), éditions de la Différence, 2010
  • Mon corps mis à nu (récit), Les Impressions nouvelles, 2013
  • Paris Nécropole (roman), L'Âge d'homme, 2014
  • Monet, impressions de l'étang, Arléa, 2016
  • Fraternelle mélancolie, Arléa, 2018

Essais

  • Bruxelles - Identités plurielles (reportage), Autrement, 2006
  • L'Adieu au paysage, Les Nymphéas de Claude Monet, éditions de la Différence, 2008
  • Mark Rothko. Rêver de ne pas être, Les Impressions nouvelles, 2011. Arléa-Poche, 2014
  • Nicolas de Staël, le vertige et la foi, Arléa, 2014. Arléa-Poche, 2015
  • Avant Godot, Arléa, 2016. Prix Roland de Jouvenel de l'Académie Française, 2017
  • Visions de Goya. L'éclat dans le désastre, Arléa, 2019
  • Être moi, toujours plus fort. Les paysages intérieurs de Léon Spilliaert, Arléa, 2020

Participation à la revue

  • N° 39 : La maison qui n’a pas existé
  • N° 42 : Le vrai héros s'amuse seul (carnets)
  • N° 45 : Diaristes belges. Se tenir au bord du fleuve ; carnet printemps-été 2020